sabato 31 gennaio 2015

Le mal du siècle vu travers les personnages de Ortis, Werther et René

La caractéristique fondamentale du romantisme est le mal du siècle. Une condition physiologique qui afflige les intellectuels et qui se manifeste avec la mélancolie, l’angoisse, l’impossibilité de vivre, la dépression et qui porte les intellectuels à se éloigner de la société.
Habituellement cette condition a une cause sociale: il y a la lutte entre le moi et le moi-même, entre le moi sociale et le moi intérieur. L’intellectuel ne se trouve pas à sa place dans la société parce qu’il a des idées divers et donc il est incompris. En effet il se trouve dans une place centrale entre  la bourgeoisie qui est lié au rationalisme, è la raison et donc pas aux passions, et l’aristocratie qui ont l’esprit fermé et refuse de renoncer à ses privilèges. Ce contraste le pousse à se replier sur eux-mêmes et de se éloigner de la societè, de ne pas accepter les injustices, les malheurs, et ils voient le suicide comme seule solution à ce mal.
Ca c’est le cas d’Ortis et Werther.
Jacopo Ortis c’est le protagoniste du roman « les dernières lettres de Jacopo Ortis », écrit par l’italien Ugo Foscolo.  Ortis est un jeune patriote qui, après le traité de Campo-Formio se réfugier sur les collines Euganées pour échapper aux persécutions. Là, il tombe amoureux de Teresa, mais la jeune fille est déjà fiancée à Edward, l'antithèse d’Ortis. Le désespoir amoureux et politique l'a conduit à un pèlerinage en Italie, mais, après avoir appris le mariage de la femme, il se tue. On voit, donc, en Ortis, un mal du siècle développé sous deux points de vue : le désespoir inspiré par la prise de conscience qu'il ne peut atteindre ni l'amour de la femme qu'il aimait, ni leur idéal politique.
L'intrigue est inspirée au Werther de Goethe, un jeune homme tombe amoureux d'une femme qui est destiné à un autre. Il est aussi un jeune intellectuel en conflit avec le contexte social dans lequel il ne se reconnait pas.  Cependant, il ya plusieurs différences entre les deux romans :
Werther est un drame social, en effet le protagoniste ne trouve pas sa place dans la société, le drame de Jacopo n'est pas tant la dissidence contre l'ordre social, mais le sentiment angoissé d’une absence, de ne pas avoir une patrie. Le drame est inspiré par la déception révolutionnaire, par la trahison de tous les espoirs patriotiques et démocratiques et par la liberté transformé en tyrannie.
Pour ce qui concerne l’aspect social de « les souffrances du jeune Werther », il n’est pas lié au patriotisme, comme dans l’Ortis, parce que Werther, un bougeoirs, il ne peut pas s'identifier dans sa classe sociale, car, en étant un intellectuel, il est porteur de valeurs irréconciliables avec elle : le culte de la beauté désintéressée e l'élan passionné qui rejette la rationalité. Il est aussi en conflit avec l'aristocratie qui était encore la classe dirigeante, d’esprit fermé. Donc il se trouve exclu de la societé.
Différent de ces derniers se configure René de Chateaubriand. Son mal semble injustifié : Il mène une vie solitaire en France avec sa sœur Amélie, mais un mal inexplicable, une constante mélancolie l’afflige et il cherche remède dans les voyages et il s’embarque pour l’Amérique. Dans le même temps sa sœur se retire dans un couvent pour étouffer son amour coupable pour son frère. ll tente de se suicider mais il sera arrêté par sa sœur et à la fin il meurt dans le massacre de la tribu Nachtez.
René est considère, par son aptitude, le premier figure du héros romantique en France, et son mal sera identifié dans le mal du siècle.
C’est très difficile identifier les motivations de la maladie de René, il est persécuté par une inquiétude de vivre, mais peut-être qu'il a été profondément troublée par les mouvements révolutionnaires du siècle qui combatte contre sa classe sociale, l’aristocratie.