Chateaubriand - Vita - Opere - Pensiero

SA VIE

François-René de Chateaubriand est né en Bretagne en 1768, dans une famille d’aristocrates. Il grandit avec sa sœur Lucile et commence à fréquenter les salons et les milieux littéraires. Au début de la Révolution, il quitte la France et s’embarque pour l’Amérique, mais il rentre en France et rejoint l’armée. Il est blessé et il s’exile à Londres ou il conduit une vie misérable. La mort de sa mère le rapproche de la religion chrétienne et, après avoir reçu des bureaux politiques, il se consacre à la littérature et il meurt en 1848.

SON ŒUVRE

Chateaubriand ignore l’antiquité, redécouvre l’histoire chrétienne, le Moyen Age et exalte l’importance de la nature.
Il a écrit beaucoup d’œuvres, parmi lesquels :
Essai sur les révolutions : il étudie les rapports entre la révolutionne française et les révolutions anciens.



Le génie du christianisme : se présente comme une apologie du christianisme et combat l’esprit philosophique du siècle des lumières. Il réhabilite la bible, il révèle Dante, Milton et Tasse e il s’intéresse au Moyen Age et à la chevalière. Il considère le christianisme comme source de la poésie, de l’émotion et du sentiment.

Deux des plus célèbres chapitres de l’œuvre, Atala e René qui sont complémentaires, ont été aussi publiés individuellement :

L’histoire de Atala s’inscrit dans la tradition du bon sauvage (l’homme qui vive a contact avec la nature est plus proche a dieu). Avec cette œuvre, Chateaubriand exprime le conflit entre la foi et les aspirations naturelles et l’apaisement que la foi apporte. En outre, il ne considère pas la nature comme un simple décor, mais comme une représentation des sentiments des protagonistes. On a en effet un sorte de symbiose entre la psychologie des personnages et la nature.

L’histoire se déroule en Amérique ou René vit chez les indiens Natchez. René demande au vieux Chactas de lui conter ses aventures. Chactas lui raconte de son amour impossible Avec Atala, qui l’aimait, mais elle ne pouvait trahir le serment qu’elle avait fait à la Vierge ; donc elle décide de se suicider. A la mort de Atala, Chactas se convers à la religion chrétienne.

René en retourne lui raconte les raisons de son exil en Amérique. Il mène une vie solitaire en France avec sa sœur Amélie, mais un mal inexplicable, une constante mélancolie l’afflige et il cherche remède dans les voyages et il s’embarque pour l’Amérique. Dans le même temps sa sœur se retire dans un couvent pour étouffer son amour coupable pour son frère. Un missionnaire qui écoute son discours, l’invite à passer à l’action et à trouver dans la religion un remède à son mal.
On voit comme l’expérience de René est très semblable à laquelle de Chateaubriand lui-même.
L’intention de Chateaubriand est celle d’illustrer le triomphe du christianisme, mais les lecteurs de son époque ignore cet aspect et se reconnaît dans la maladie de René qui incapable de vivre, ne croit plus au bonheur. En réalité Châteaubriand voulait condamner cet aptitude, qui allait contre la pensée chrétienne.
René est considère, par son aptitude, le premier figure du héros romantique en France, et son mal sera identifié dans le mal du siècle.

Les martyrs : où il démontre que les héros chrétiens ont la même importance des héros mythologiques.

Les mémoire d’outre-tombe : où il nous donne détails sur lui e sur son époque, mais il est trop subjectif et il ne respect pas toujours les faits.
Le deux thèmes principaux sont : le souvenir et la mort. La mort l’attire mais lui fait horreur parce que l’immortalité chrétienne ne lui suffit pas, il croit (comme Foscolo) que on peut gagner la complète immortalité seulement avec le son souvenir parmi les hommes, qu’on peut obtenir avec l’art et la poésie.

SA PENSEE

Politique: il croit à la liberté mais la république lui semble prématurée et il croit que seulement la monarchie peut concilier ordre et liberté.
Christianisme : il se veut défenseur du christianisme mais il se sente plus proche à Dieu avec le contact avec la nature plutôt que avec les pratiques religieuses.
Nature : elle est vivante et associée aux sentiments.
Il a insisté sur sa situation d’homme charnier, marque par les contrastes d’une époque de transition entre le siècle de lumières et le romantisme.